Qui est Adam Cole ? [#001]

‘The Panama City Playboy’ – Adam Cole : En ce dix-septième jour de mai 2014, l’histoire de la lutte professionnelle débute un nouveau chapitre. Ce jour restera inscrit dans la mémoire de plusieurs connaisseurs, aspirants lutteurs et historiens comme étant le début d’une nouvelle ère. Le contrat que vous voyez à ma gauche n’est pas simplement un morceau de papier qui me rendra riche et garantira mon présent et futur. C’est un document qui officialise toutes les réussites et  sacrifices que j’ai accomplis depuis le début de ma carrière. Lorsque j’ai été contacté par les hautes instances de la compagnie, on m’a offert tous les avantages que je voulais. Heureusement que je suis quelqu’un qui n’a pas besoin de luxe pour vivre. On a vu en moi, dès mes premiers pas dans un ring de lutte, que j’avais tout ce que ça prenait pour être une partie intégrale de la relève qui allait garder ce magnifique sport au sommet. Dans le passé, on m’a donné quelques opportunités ici et là mais c’est grâce à mon talent que je suis maintenant dans la fédération #1 au monde. On ne parle pas seulement d’une belle gueule ici avec un charisme de fou. On parle du meilleur lutteur de sa génération.

‘The Best Damn Pro Wrestler’ – Adam Cole : Oh ! On a quelqu’un qui doute ici. Monsieur le caméraman au salaire minable, je suis heureux de vous apprendre que ce n’est pas des paroles en l’air. Partout où j’ai passé, j’ai été reconnu comme étant le meilleur. Que ce soit au premier coup d’œil ou après une performance incroyable, jamais je n’ai vu quelqu’un qui est resté indifférent. Ceux qui doutaient au départ ont eu droit à un choc de vérité lorsqu’ils m’affrontaient dans le ring. On va se dire les vraies choses aujourd’hui j’imagine ? Le but de cette introduction aux fans de la EWA est de faire connaître qui est ce fameux Adam Cole dont a entendu parler maintes et maintes fois. L’histoire de cette fédération s’est écrite d’elle-même au fil des années. Aujourd’hui, vous avez deux champions qui sont vus comme étant les meilleurs lutteurs de la fédération et on doit les voir se battre dans des règles créées pour augmenter l’intérêt du combat. Lorsqu’Adam Cole est dans le ring, personne n’a besoin d’ajouter des boîtes qui peuvent cacher la ceinture pour mousser l’appréciation de la carte. Lorsque je suis sur la carte, les fans paient pour venir voir Adam Cole donner le meilleur match de la soirée, night in and night out et souvent, ils sont retournés chez eux car l’aréna est déjà pleine. Les spectateurs paient pour voir le best damn pro wrestler in the world. Pas deux lutteurs qui montent des échelles pour briser des boîtes et espérer se retrouver champion incontesté.

‘The Panama City Playboy’ – Adam Cole : Je dois l’avouer,  les lutteurs qui ont voulu un jour accéder au rang des grands de ce sport n’ont pas tous eu la chance d’obtenir les atouts que j’ai. Plusieurs ont tenté de devenir ‘The Man’ et sauf dans des cas uniques, ils ont échoué. Âgé de 24 ans, avec des championnats remportés aux 4 coins de l’Amérique, on m’a fait signer un contrat ici pour que je devienne tout ce que j’ai voulu être dans ma vie.  THE MAN. Dans cette ère où la technologie nous permet de comparer tout ce qui est comparable, on a rapidement mis un équivalent à Adam Cole. Pas n’importe lequel d’ailleurs. Le nom qui revient souvent est celui de Ric Flair. Pour un ancien lutteur comme lui, être dans la même catégorie de comparatif qu’Adam Cole,  sera un baume sur la fin de sa vie qu’il aura besoin jusqu’au jour où il sera six pieds sous terre. Il pourra regarder le futur de l’industrie qu’il a créée, du confort de sa maison de retraite et se dire qu’il peut partir en paix avec l’homme qui deviendra celui que vous appellerez Champion très bientôt :