| | Dim 09 Sep 2012, 02:24 | |
Comme à notre habitude, nous nous retrouvâmes avec le caméraman et sa caméra. Cette fois-ci, aucun signe de terreur, pas de créature cauchemardesque ni de lieux morbides. Juste, le caméraman, sa caméra et la nuit ! Seule une brise légère faisait frissonner le caméraman et danser les branches mortes. La nature est silencieuse, semblait-elle dormir ? Seul un hululement de chouette, ou de hiboux venaient perturber ce silence dans un paysage vide. Vide de sens comme de vie. Le soleil s’est éteint depuis maintenant quelques heures, peut être perdu au beau milieu de millions d’étoiles. Les ombres se dessinaient sur les arbres laissant alors apparaitre la peur, qui font-elles des monstres infernaux. Plongé dans l’obscurité comme dans les ténèbres, la nuit semblait horrible et cruel.Caméraman: Je m’avançai tout de même à travers les noirceurs de la nuit, accomplissant Ma tâche avec bravoure. Soudain, je tombai sur une masse au loin. Qu’est ce ? Je ne le distinguais pas immédiatement. Je reconnus pourtant une silhouette ? De qui ? De quoi ? Voilà mes premières préoccupations ! Avec un ouf de soulagement je remarquai qu’elle était humaine … Et que ce n’était pas le gros monstre rouge. Trop petite, trop maladroite, manquant de prestige. Ca ne pouvait être que Paul … Paul Bearer, ce petit manager aussi gros que large, avoisinant les un mètre cube, avec une démarche mal assurée, penchant vers l’avant afin de soutenir ce ventre débordant. Il se tenait là, en haut d’une colline, tâchant vainement de se tenir droit comme un piquet. Il leva soudainement les bras au ciel.En l'espace d'un instant un violent-orage s’abattit sur nous. Il fut si soudain que j’eus l’impression que l’on m’abattait sur l’arrière du crâne une massue. La tempête semblait répondre à l’appel de Paul qui était subitement moins ridicule. Le tonnerre gronda, et les éclairs fondirent sur Terre avec fureur. Paul riait, oui il riait diaboliquement sur le sommet de sa colline. Je grelottais de froid peut être, d’angoisse surement, de peur, oui ! Un éclair plus consistant, plus important et puissant que les autres frappa au pied de Paul, qui disparu dans un nuage de fumée, pas le moins du monde inquiété. Lorsque celle-ci se dissipa il tenait en ses mains une lourde dalle de Pierre, qu’il brandissait fièrement. Trempé, je tâchai de filmer le mieux que je pouvais !
Paul Bearer: OOOOH YES ! Avez-vous vu ? Les éléments obéissent à notre maitre à tous. Il est d’un autre monde, d’un autre univers, d’une aura si puissante, si dévastatrice … Il est mon maitre. Attendez … Oui, attendez ! Je vous vois venir. Vous et vos airs mesquins. Alors oui ! Oui, je vous l’accorde la mort a failli. L’heure n’était pas venue pour celui-ci. Ce jour est à marquer d’une croix blanche. Oui, ce jour est à retenir comme le seul jour où la mort a échoué. Car croyez-moi, cela ne se reproduira plus. Un voile de haine et de rage recouvrait les yeux de la mort durant cette exhibition. Ce flot de colère était destiné à Marcus … Et il se déversera le moment venu. OOH YES ! Il souffrira et nous en rirons, rirons à pleines dent devant la douleur, la souffrance et la larmoyante pitié qu’il nous inspirera. Pourtant de la pitié il n’y en aura pas ! Et Marcus, pestiféré déchet périra !
Paul reprit calmement ses esprits, s’efforçant de respirer et inspirer doucement puis repris.Paul Bearer: Quant à ces deux dalles … Vous devriez les reconnaitre non ? Je vais vous expliquer stupides humains. Dès le commencement, votre, soit disant Dieu a mis dans l’univers un ordre plein de grandeur et de diversité. Les forts comme le Seigneur de l’obscur et les faibles comme les humains. Les faibles mutent parfois en fous désespéré se lançant contre l’impossible. L’exemple le plus frappant est le massacre auxquels vous assisterez. Il a donné à chaque créature une nature, et en conséquence, une loi qui lui est propre. Cet ordre doit être respecté. Voici la raison de l’existence de la mort. Les créatures non raisonnables suivent aveuglément, et contraintes, les forces de la nature et les instincts que Dieu à mis en elles. Oui, mais voilà. Dieu a choisi de laisser les humains libres, libres de leur choix, libres de leurs gestes et libres de leurs pensées, pensant qu’assez intelligent ils s’y soumettront librement. Il les a considéré comme supérieur aux animaux sauvages. Ce fut une grave erreur … Il a alors donné aux humains les dix commandements. Par eux il a expressément et solennellement fait connaitre sa volonté et confirmer l’ordre qu’il a mis dans la création. Les dix commandements disent aux humains d’une manière précise et sûre ce qu’ils doivent faire. Pourtant … Les humains ne les respectent pas. Grave erreur. La mort est ici en ces lieux pour corriger cet affront. La mort est ici en ces lieux se servant comme appât du titre Tag team afin d’attirer les êtres belliqueux et jaloux dans son piège. Le piège se refermera, et la mort emportera ces âmes aux plus profonds des Enfers ! OOOOOH YES ! 
Kane: Ils sont … Humains ! Ils sont mortels, de vulnérables larves dont l’éphémère vie repose dans les mains de la mort. La mort même, à qui ils ont manqué de respect. Cocasse situation non ? Pourtant ces quelques simples d’esprits ne se débinent pas et foncent droit dans le piège amenant à leur imminente destruction. L’appât qu’est cette ceinture attirant les âmes les plus folles à travers les méandres de l’enfer ! Or ces simplets ne prononcent pas son nom avec l’entier respect que l’on lui doit. Sacrilège ! Sacrilège qu’il faudra réparer, racheter avec du sang, de la sueur et de la souffrance. Ils devront payer cette insolence au prix de leur vie. Paul Bearer: MOUHAHAHAHAHA ! Sur la troisième ligne, il est gravé « Tu sanctifieras le jour du Seigneur ». Oui, sanctifiez ce jour bénit de tous, sanctifiez le jour où le gros monstre rouge a touché la ceinture affirmant sa suprématie et sa diabolique supériorité. Vénérez ce jour, car ce fut, le jour où l’obscur a envahi entièrement et définitivement ce monde.
Kane: C’est le jour qui a sonné la mort du soleil. Celui-ci s’est couché pour ne plus jamais briller, tout comme Marcus, couché, abattu, lui qui croyait briller si haut parmi les étoiles … Le voilà, couché parmi les faibles alors que la lune règne, seule, en maitre, plus uniquement sur la nuit ; non elle règne en maitre sur tout ! A l’image de la mort ! Toute la lumière de Marcus est vaine et bien inutile si personne ne peut la voir briller haut dans le ciel. Ce jour est gravé dans les mémoires et Marcus … Perdu dans les ténèbres. A tout jamais !
Paul bearer: Les prochains mots de ce texte sont clairs, très claires, les voici ; « Tu ne tueras pas » et « Tu ne voleras pas ». Pourtant celui qui prétend être de la lumière, venir des cieux, représenter le bien ne les respectent pas. Honte, oui, honte à lui ! Honte aux profanateurs, hontes aux mécréants, honteux aux bonimenteurs, hontes aux charlatans ! OOOH YES honte à toi, Marcus Cor Von !Kane: Voler, tuer, voilà des actes bien obscurs. Voilà des actes bien opposés aux propos de votre ange. Pourtant, celui-ci les a commis. Tous les deux. Il a volé, il a tué. Il a volé l’âme de Cody, la manipulant à l’aide de jolie mais sournois mots, faisant miroiter à son esprit simplet une belle vie. Une vie qu’il n’obtiendra jamais ! Il l’a volé pour mieux la tuer ! Oui, il a tué en lui retirant toute pureté. Le faisant devenir animal plus qu’humain. Tuant chez lui toute humanité. En vérité le monstre est celui qui manipule à sa guise l’esprit tortueux des déments. Et non le manipulé. Marcus ne mérite pas de vivre. La mort rectifiera cette erreur ! Paul frissonna, puis plongea à nouveau sa tête pour lire un nouveau ]commandement et s’exclama à haute voix. Paul bearer: La suivante, te concerne Marcus, ignoble individu que tu es. Oui, c’est à toi qu’il s’adresse et te colle comme un gant. Ecoute-le, ressasses-le encore et encore dans ton esprit, réfléchis-y bien, et tu seras enfin prêt pour affronter la mort. Prêt oui, meilleur non. Tu passeras ce cap, te laissant emporter par les flots de la mort, tel un nouveau né se faisant bercer. Tu ne réaliseras qu’après que tu as dépassé le point de non retour, et cette force invisible te traineras en enfer ! Il est inscrit ; « Tu ne commettras aucune impureté. » Te sens-tu visé ? Je le crois, ou du moins tu devrais, oui ! Marcus, tu es un être sale. Sale à l’intérieur comme à l’extérieur. Tu es sale, moisi et pourri de l’intérieur. Tu es sali par tes mensonges, tu es sali par tes pensées, tes actes, tes péchés, par ta lâcheté et ta fourberie. Tu es sali par le sexe à outrance et l’abus de femelles alcoolisées. Tu vas là où le sexe te porte, là où tu as la moindre chance de concrétiser tel un mort de faim ! Tu es comme ces chiens en chaleur, tu cours, renfiles et accours afin de déverser ta pouilleuse semence. Tes testicules guident tes gestes. Voilà une faiblesse. Tu régresses … Déjà que les humains sont pathétiques tu redescends chez la bête. L’animal avec tous ses besoins primaires. Nous sommes bien au-delà tout ça ! Nous ne sommes plus bête mais seigneur ! Kane: Marcus … Bienôt. Oui, bientôt, l’odeur nauséabonde de ta chaire pourrissante à travers les abysses envahira tes frêles narines, dissipant tes sens, t’amenant droit à la démence !
Paul Bearer: La prochaine tient en ces quelques mots :« Tu ne mentiras pas ». Voilà une bien belle résolution. Pourtant, oui, j’ai bien dis aucun de vous ne la respecte. Marcus, tu mens, tu mens comme tu respires. Tu blasphèmes et fait miroiter une fausse réalité à l’esprit crédule e Rhodes. Tes propos diffamatoires n’ont aucun effet sur nous car nous savons que tu n’es plus rien … A part un déchet. Ta vie n’est qu’échec, et sur ce point, tu te mens à toi-même. Dieu t’as renié, tu es déchu ! Finis, mort, plus personne ne croit en toi, plus personne ne s’intéresse à toi. Personne, non personne ne te pleurera une fois dans l’au-delà. Tu es menteur et par ce biais pécheur. Tu es un menteur, un menteur profitant de la naïveté des plus faibles ! Tu es un fourbe et un lâche. Tu ne respectes aucun de tes engagements et par ce biais, tu es pêcheur. N’as-tu jamais menti ? Tu serais pourtant menteur que de dire non. N‘est ce pas ? Tous les humains sont mauvais, tous les humains sont pécheurs, tous les humains ont profité de la confiance trop généreuse de Dieu. Tu es toi aussi, durant ton éphémère vie un menteur et par ce biais un pécheur.
Kane: Vous êtes tous jugés coupable, votre pénitence sera la mort et cette sentence est irrévocable !Paul Bearer: Ces quelques mots sont pourtant simples. « Tu n’auras aucun désir impur volontaire, tu ne commettras pas d’adultère ». Cela signifie, pour ton cas, pas d’adultère. Or tu l’as commis. A de nombreuses reprises. L’adultère … Voilà un bien grand mot. Pourtant il désigne l’infidélité conjugale. Lorsque deux partenaires, dont l’un d’eux au moins est marié nouent entre eux une relation sexuelle, même éphémère commettent un adultère. Notre seigneur condamne même le désir adultère. L’adultère est une injustice. Celui qui le commet manque à ses engagements. Il blesse le signe de l’Alliance qu’est le lien matrimonial, lèse le droit de l’autre conjoint et porte atteinte à l’institution du mariage, en violant le contrat qui le fonde. Il compromet le bien de la génération humaine et des enfants qui ont besoin de l’union stable des parents. Si ton œil droit est pour toi une occasion de chute, une occasion de désirer ce qui ne t’appartient pas, arrache-le et jette-le loin de toi : car mieux vaut pour toi qu'un seul de tes membres périsse, et que ton corps tout entier ne soit pas jeté dans la géhenne. Et si ta main droite est pour toi une occasion de chute, coupe-la et jette-la loin de toi : car mieux vaut pour toi qu'un seul de tes membres périsse, et que ton corps tout entier n'aille pas dans la géhenne. Je pourrai continuer longtemps ainsi car chacun de tes membres est mauvais. Tu es mauvais !Kane: Mais désormais tout cela est trop tard pour toi … Beaucoup trop tard. Tu as péché, tu as trahi. Ton corps entier doit désormais périr. Marcus, tu n’es qu’un décérébré, un forniqueur manipulateur ! Tu ne mérites pas de fouler cette Terre. Tu te prends pour ce que tu n’es pas ! Tu te crois au dessus de nos lois. Alors que tu es un tout petit minable. Ta place est à nos pieds. Tu as l’habitude de frapper dans le dos de tes victimes. Cette fois ci la mort sera en face de toi et prendra garde de ne jamais te lâcher des yeux. Tu n’auras nulle cachette, nul stratagème, nulle tricherie. Tu seras là, seul, désemparé et bientôt … Démembré !
Paul semblait remuer ces pensées et cette image en tête affichant sur son visage un sourire satisfait, il marqua par conséquent une pause et reprit de plus belle, les tables entre les mains.Paul Bearer: Voyez, voyez la prochaine. « Tu honoreras ton père et ta mère ». Vous, Oui, je dis bien vous, ne le respectez pas non plus. Grave erreur, très grave erreur. Marcus , décidément tu les cumules. Je vais t’expliquer en quelques mots simples ton péché. Tu n’as pas honoré ton Père. Oui le Père de tous les hommes fut déçu, très déçu de toi. Pour preuve se rendant compte de ton inefficacité il t’a déchu. N’est ce pas preuve flagrante de ton inutilité sur cette Terre ? Marcus, en trompant les naïves tu as déshonoré Aphrodite, la Mère de l’amour. Mais ce n’est pas tout, en agissant avec fourberie et lâchement tu n’as pas respecté la Mère de tous les guerriers, la fière et courageuse Athéna. Et tous les jours tu ne respectes pas notre Mère Nature car trainant ta carcasse pourrie sur cette Terre, tu salis absolument tout sur ton passage. Marcus tu fais honte à Dionysos, Père de toutes les festivités. Oui, en renonçant à tous ses plaisirs tu le renies. Dionysos a honte de toi. Tu crois que ne pas consommer d’addiction est sage ? Pourtant qui ne vit sans folie n’est pas aussi sage qu’il le croit. Tu t’es inventé une vie, des croyances et un caractère en rejoignant cette pseudo mouvance afin de rendre ton existence moins triste. Elle était sans doute trop morne, tu n’avais aucune personnalité, ces charlatans t’ont embrumé le cerveau, inventant une morale, leur moral. Tu es par conséquent toi aussi un faible d’esprit. Honore tes pères ! Tu ne le fais pas, tu es par ce biais un pêcheur.Kane: Le jour est venu pour vous d’affronter la mort, mortel !
Paul Bearer: Il est venu le temps, non pas des cathédrales mais du dernier commandement. Le dernier commandement est celui qui semble le plus important. Or le dernier commandement, aucun, j’ai bien dis aucun Humain ne le respecte. Honte à tous ces pécheurs ne méritant pas la vie. Avant de vous en dire plus, laissez-moi vous le lire, en suite vous tremblerez. « Tu ne désireras pas injustement le bien des autres » Qu’avez-vous à dire pour votre défense ? Rien ! Il n’a rien à dire, les faits sont là ! Tu désire le titre du gros monstre rouge. Tu le réclament, prétendant leur. Faux ! Absurde mensonge ! Que nenni, ce titre revient de droit à la mort. Et quiconque prétend le contraire se verra puni à jamais. Marcus Cor Von tu as cru pouvoir berner quelqu’un, ou plutôt nous berner avec tes leçons de morales et tes aides, en agissant bravement ? Non, bien sur que non ! Nous savions depuis le début ce que tu attendais. Tout cela était calculé, tes agissements comme les nôtres. Tu as calculé tout cela car tu es jaloux ! Oui jaloux de ce titre, t’étant pourtant inaccessible. Nous nous sommes servis de ce titre pour t’attirer dans un piège. Un piège qui se refermera sur toi, te piégeant à jamais. Tu es fasciné par ce titre comme la souris par le serpent. Mais celui qui t’emportera vers la mort ne sera pas la ceinture. Quoi que, obsédé par elle tu deviendrais dément mais le gros monstre rouge attendra que la séduction d’une pièce en métal se fasse sur toi avant de t’ôter tout espoir à l’aide de ses poings. Lorsque tu reviendras à la réalité ce ne sera que trop tard. Marcus Cor Von, ce n'est qu'un être obscur voulant tout sur tout. Pourtant, la ceinture, jamais tu ne l'obtiendrasLe gros monstres rouges prit soudainement la parole, faisant sursauter Paul qui ne semblait pas en avoir finis !Kane: Marcus prétend être le bien, pourtant la jalousie engendre le mal … La jalousie c’est le mal. Méfiez vous, méfiez vous d’elle, elle pourrait bien vous tourmenter de sorte à ce que plus jamais vous ne fermiez les yeux. Méfiez vous d’elle, elle vous rongera les os, l’âme et le sang. Méfiez vous de la jalousie, humains, c’est un monstre, un monstre aux yeux verts qui tourmente la proie dont il se nourrit. Oui … La jalousie est un monstre qui s’engendre lui-même et nait de ses propres entrailles. La jalousie, sentiment dangereux pour les mortels. Elle aveugle un cœur atteint, et, sans examiner croit tout ce qu’elle craint. Face à l’obscur, vaut mieux ne pas être naïfs … Elle n’est qu’un tyran, le tyran de votre esprit. Marcus, sache que la jalousie n’est qu’un sot enfant de l’orgueil, ou, la maladie d’un fou ? Qu’est-elle pour toi ? Ton orgueil te pousse vers ce titre ? Ou ta démence et ton immense possessivité ? Car la jalousie est de toutes les maladies de l’esprit, celle à qui le plus de choses servant d’aliments et le moins de remèdes. Mais après tout Marcus, la jalousie ne serait-elle pas un stimulant, une des ruses de la satiété ? Non, pas te concernant, car tu n’as pas de titre, aucun objet avec lequel tu peux te pavaner et de glorifier. La jalousie voit tout, excepté ce qui est. Les jaloux voient le réel à travers un miroir déformant, qui grossit les détails insignifiants, transforme les nains en géants et les soupçons en vérité. Tous, sachez que la jalousie qui se tait s’accroit dans le silence. Avouez là au lieu de vous morfondre. Elle vous tuera, piétinant votre esprit de ses lourdes bottes. Elle est pour la raison et le cœur ce que le cancer est pour le cœur. 
Kane: Tu veux t'aspirer au titre, pourtant cette ceinture qui te semble à porter de bras est bien loin, très loin. Il vous faudra franchir les ténèbres, plonger dans les abysses et vaincre la mort avant de l’atteindre ! Nul humain ne le peut … Lors de votre périple vous ne trouverez que mort, destruction et damnation. Lors de votre périple vous ne trouverez qu’enfer, putréfaction et horreur. Lors de votre périple vous vous perdrez à travers les entrailles de la Terre, rencontrant que famine, vermine, maladies et engeance. Parmi ce malheur, vous trouverez peut être enfin votre bonheur. Mais … Dans tous les cas … Vous vous êtes dressé sur le chemin de la mort … Vous avez insulté la mort … Vous vous êtes moqué de la mort … Vous avez pêché … Et par ce biais …Vous Ne Reposerez Jamais En Paix ! |
|
Accueil 
